[ « Dans l’économie de l’intelligence, l’épargne est ruineuse ». Paul Valéry ]
L’individu n’est plus en mesure d’appréhender seul la complexité du monde de l’entreprise. Qui, soit-il cadre dirigeant, expert ou collaborateur, est en capacité de décrire seul les tenants et aboutissants des marchés, du système d’information de l’entreprise, d’une ligne de production ou de l’efficacité de partenariats ?
Notre monde, nos relations, se caractérisent de plus en plus par l’interdépendance, c’est-à-dire par la nécessité de se relier à d’autres et de coopérer activement pour atteindre des objectifs qui nous dépassent individuellement.
> Cliquer ici pour en lire plus
C’est l’intelligence collective qui devient la réponse appropriée en associant les regards, les représentations, les idées, les talents dans et hors des frontières de l’entreprise, autour d’un Projet commun.
En donnant plus de sens aux contributions de chacun, en prenant soin de ses collaborateurs et de leur contexte de travail – équipes et organisation – tout en les stimulant, l’entreprise suscite des dynamiques de coopération et d’évolution. Ce faisant, elle affûte ses ressources stratégiques, pour aujourd’hui et pour l’avenir.
Les méthodes et outils constituent de plus en plus rarement des avantages concurrentiels. La somme des compétences ne fait plus la différence. Le capital de coopération interne et externe la fait à tous les coups.
[ Parlons argent ]
Et si l’équipe utilisait efficacement un peu plus que 50% de son énergie ?
> Cliquer ici pour en lire plus
Des 100% d’énergie a priori disponibles chez chaque collaborateur à son arrivée sur son lieu de travail, on estime qu’il ne reste plus que 50% d’énergie à consacrer utilement aux objectifs. Où sont partis en fumée les autres 50% ?
Le manque de sens dans le travail, la méconnaissance des priorités, une compréhension insuffisante de son rôle et de sa contribution consument 15% d’énergie. Les difficultés relationnelles et les conditions de travail (bruits, inconforts, …) consomment, pour leur part, 15% supplémentaires. Enfin, près de 20% d’énergie sont dispersés par la mécommunication et l’inefficacité de l’organisation.
Les gisements de productivité sont immenses. Une rapide estimation montre que grâce au coaching, un gain d’énergie de 5% seulement (soyons modestes) permet à une PME de 50 personnes d’économiser plus de 200 000 euros par an. Sans compter les gains d’efficacité et de créativité, et leurs effets sur le CA.
Vous avez dit que le coaching est rentable ?!